Le réalisateur Eli Roth (Hostel 1 et 2, Cabin Fever) est en ville aujourd'hui pour présenter son nouveau film The Green Inferno. Histoire sanguinaire d'activistes qui se font "dévorer" par les indigènes qu'ils défendent, le long métrage offre une première partie beaucoup trop longue et explicative où il développe ses assisses, pour oublier par la suite les espoirs de son scénario pour tomber dans le traditionnel carnage cannibalisme, qui est étonnamment trop gentil et propre de sa part. Oui, on rit parfois et le sang coule à flot, sauf que l'effort s'avère au final assez quelconque et prévisible. **
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