Lionel Rogosin a un peu transposé le néoréalisme italien aux films américains. Dans Come Back Africa qu'il a réalisé à la fin des années 50, il transporte le spectateur en Afrique du Sud pendant l'Apartheid, au sein d'une famille où le père cherche inlassablement un emploi. Le récit rigoureux et dramatique aux images, à la musique et à l'interprétation formidables ne se veut pas seulement une belle leçon cinématographique. En montrant ce qui n'est (heureusement) plus, il s'agit d'un testament historique important, pour éviter que l'espèce humaine répète inlassablement les mêmes erreurs. ****
Critique
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