Les sorties DVD et Blu-ray vont bon train encore cette semaine avec quelques titres qui plairont à la plupart des cinéphiles.
En combinant plusieurs genres et en alliant le réalisme à une forme de stylisation très séduisante, la cinéaste Rebecca Zlotowski offre avec Grand Central une très belle histoire d'amour et d'amis sous fond de centrale nucléaire. ***1/2
L'amour est-il incompatible avec l'art et vice-versa? C'est à cette question essentielle que tente de répondre le joli documentaire Cutie and the Boxer de Zhachary Heinzerling qui porte sur les hauts et les bas d'un couple d'artistes. ***1/2
Porté par ses excellents interprètes, Dallas Buyers Club de Jean-Marc Vallée qui relate l'histoire vraie d'un homme malade qui se bat pour rendre des médicaments plus abordables est une oeuvre un brin surestimée (autant au niveau du scénario prévisible et de la réalisation). Mais quels acteurs! ***
Il fallait s'attendre au pire avc About Time de Richard Curtis, une romance sous fond de voyage dans le temps. Pourtant, l'intrigue réserve de bons moments, la distribution est étincelante et les nombreux thèmes (dont la relation entre un père et son fils) rendent parfois les yeux mouillés. ***
L’Alzheimer est au centre de plusieurs longs métrages québécois, dont L'autre maison de Mathieu Roy. Si les lieux communs ne sont pas épargnés (tout comme l'abus de symboles et une fin décevante), le casting fait encore beaucoup. Pensons seulement à la performance immense de Marcel Sabourin. ***
En laissant son cerveau au vestiaire, Escape Plan de Mikael Hafstrom s'avère un efficace divertissement musclé, où Sylvester Stallone et Arnold Schwarzenegger tentent de s'échapper de la prison la plus protégée de la planète. C'est drôle, mouvementé, stupide mais pas désagréable. ***
Critique
Critique
Nouvelle version cinématographique du classique de Shakespeare, le Romeo and Juliet de Carlo Carlei s'adresse à la génération Twilight. Sans être imbuvable, il faut avouer que le kitsch est de tous les instants. Mieux vaut se contenter de la trame sonore et oublier le reste. **
Alors là, ce sera difficile de se rendre jusqu'à la fin de The Right Kind of Wrong de Jeremiah Chechik, une comédie romantique ni drôle ni mignonne où les clichés abondent. Après avoir bu autant de sirop, il ne faudra pas se surprendre d'avoir mal au coeur. À fuir. *1/2
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