Présenté en compétition officielle au dernier Festival de Cannes, Grigris de Mahamat-Saleh Haroun (Un homme qui crie) est une sorte de Roméo Onze africain en plus sérieux qui porte sur le destin d'un danseur qui fraie dans des activités louches. Le grand soin esthétique et la qualité de l'interprétation arrivent généralement à prendre le dessus de ce scénario un brin éparpillé et de cette mise en scène qui peut manquer de panache. ***
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