Ouf! C'est le premier mot qui vient en tête en regardant Arrêtez-moi. Après son surestimé et raté La journée de la jupe, le réalisateur Jean-Paul Lilienfeld s'attaque à un nouveau sujet douloureux et essentiel: la violence domestiques. Et encore une fois, il pèche par excès, offrant une production manipulatrice et sensationnaliste, ankylosée par des dialogues qui sonnent faux et un abus dans la façon d'utiliser la caméra subjective. Sophie Marceau et Miou-Miou méritaient beaucoup mieux. **
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