Claude Chabrol qui adapte Simenon, cela donne Betty, un drame psychologique de bonne facture sur la déchéance d'une jeune femme qui est rescapée par une intrigante bourgeoise. Rappelant Les biches du même réalisateur, ce long métrage peuplé d'ellipses vaut surtout le détour pour le jeu magistral de Marie Trintignant, qui livre une performance exceptionnelle. À tel point qu'on se demande ce qui serait arrivé si le récit avait été aussi puissant et fignolé que sa prestation. ***
vendredi 25 janvier 2013
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C'est vrai que Marie Trintignant illumine le film...un peu "décontracté" (comme souvent chez Chabrol)
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