Relatant le quotidien d'une famille juive qui s'est cachée pendant plus de 700 jours dans une demeure parisienne lors la Seconde Guerre mondiale, La vie devant moi de Niels Tavernier débute plutôt bien. L'interprétation est respectable et la réalisation minimaliste plutôt adéquate. L'ensemble superficiel et assez mince se dérègle toutefois à mis chemin lorsque le récit commence à tourner en rond et que le sentimentalisme d'usage fait son entrée avec sa trame sonore appuyée. En salle ce vendredi. **1/2
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