Après quelques documentaires remarqués, Joshua Oppenheimer s'essaye à la fiction avec The End, un drame musical apocalyptique à la fois séduisant et ennuyant. Ambitieux quoique inabouti, l'effort s'avère surtout interminable, et bien que l'interprétation demeure irréprochable, la mise en scène se veut tour à tour virtuose et paresseuse. Ma critique complète est à lire sur Cinoche. **1/2
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire