Pour sa première excursion du côté de l'animation, Michel Hazanavicius adapte avec La plus précieuse des marchandises le livre de Jean-Claude Grumberg. La première partie prend la forme du conte, charmant mais appuyé et répétitif, tandis que la seconde plonge dans l'horreur de la Seconde Guerre mondiale en ne lésinant pas sur les images graphiques, dont plusieurs, obscènes, font sourciller. De quoi enrayer ce qui aurait pu être un dessin animé important sur la solidarité au coeur des ténèbres. ***
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