Après Coco avant Chanel, Anne Fontaine retourne au drame biographique avec Boléro, s'intéressant à l'oeuvre emblématique de Ravel. Froid et distant, le film qui traîne en longueur ne manque pourtant pas de scènes fabuleuses, et s'il est porté par l'étonnante composition de Raphaël Personnaz, il souffre d'un scénario anecdotique, plutôt prévisible dans sa façon de faire ressortir les éternelles «femmes importantes» derrière son génie. Ma critique complète est à lire sur Cinoche. ***
vendredi 19 juillet 2024
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