Le cinéma coréen est réputé pour sa façon magistrale de mélanger les genres. Il y a pourtant des amalgames qui ne prennent tout simplement pas. C'est le cas de Mash Ville de Hwang Wook, qui tente d'être à la fois un western violent et une comédie hystérique. Rien ne coule de source dans ce projet sans queue ni tête et si la photographie demeure très soignée, l'ensemble s'avère d'une prétention sans nom. À quoi bon singer le cinéma de Tarantino, des frères Coen et de Takashi Miike s'il n'en ressort rien de concluant en retour? **
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire