C'est incroyable comment les cinéastes ne changent pratiquement pas de film en film. C'est le cas de Nicole Holofcener. Déjà a l'époque de Lovely and Amazing (2001), elle explorait les peurs féminines avec beaucoup de doigté, à l'aide de dialogues pétillants à la Woody Allen. Ce n'est pas la mise en scène qui fait la différence, mais la distribution, excellente. Au fil des années, ses oeuvres sont peut-être devenues plus matures, sauf qu'on remplacerait volontairement la superficialité des dernières pour la belle errance des premières. ***1/2
mercredi 10 juillet 2024
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