Cinémania s'ouvre en grand avec la présentation de Peter Von Kant, la lettre d'amour de François Ozon à l'immense cinéaste Fassbinder. Cela donne un huis clos qui revisite et détourne l'éblouissant Les larmes amères de Petra von Kant sur les obsessions d'un cinéaste à succès. Parsemé de jeux de miroirs, ce long métrage demeure dans la référence fétichiste, faisant sourire (Denis Ménochet s'en sort très bien dans le rôle de Fassbinder face à une Isabelle Adjani en roue libre) même si l'ensemble s'avère rapidement bancal et oubliable. Présenté aujourd'hui et demain. ***
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