Chien blanc d'Anaïs Barbeau-Lavalette, l'adaptation de l'important roman de Romain Gary, ne manque pas d'ambition dans sa façon de parler de racisme et du privilège blanc. Et si la démonstration cinématographique séduit, c'est moins le cas du scénario chargé et éparpillé. Ma critique est à lire sur Cinoche. ***
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire