Après chaque film important, Michel Ocelot réunit toujours une série de courts métrages à la même enseigne. Le magnifique Dili à Paris ayant pris l'affiche dans les dernières années, le cinéaste français propose cette fois Le pharaon, le sauvage et la princesse, trois dessins animés agréables et didactiques, qui semblent issues d'une autre époque. Hormis la qualité de l'animation, rien n'a vraiment changé depuis Princes et princesses (2000) et Les contes de la nuit (2011), ce qui constitue la force et la limite de ce nouvel essai. Au cinéma dès vendredi. ***
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