Deux sentiments contradictoires émanent de Gully. Celui que Nabil Elderkin voulait faire un film ambitieux sur la jeunesse, la pauvreté et la difficulté d'être afro-américain, utilisant sa réalisation pour faire ressentir ce malaise. Mais surtout celui qu'il a tout bousillé avec ses clichés, ses élans religieux et ses excès de violence, réduisant d'excellents acteurs à des stéréotypes ambulants. **
dimanche 6 mars 2022
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