Pour la fête du Canada, on célèbre le cinéma d'Atom Egoyan, qui a offert un de ses derniers films potables avec Where the Truth Lies. Ce suspense glaçant où le passé revient hanter s'élève quelque peu du lot par son scénario fignolé qui ne se prend pas totalement au sérieux, sa mise en scène précise et ses interprètes dévoués. Un certain manque de profondeur fait toutefois en sorte qu'on n'y revienne pas davantage, contrairement à quelques précédents classiques de son auteur. ***
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