Il y a une douceur, une sensibilité et une fragilité qui ressort du cinéma de Nadir Moknèche. Même s'il ne dépassera probablement jamais sa fresque épique Délice Paloma, le voici plonger avec Lola Pater dans une autre délicate histoire familiale. Le récit peut être ténu et pas suffisamment rythmé, la profondeur des personnages fait toute la différence. Surtout celui du héros devenu héroïne, campé avec une fraîcheur inouïe par Fanny Ardant. ***
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