On tente de survivre à Fantasia en sacrifiant plusieurs des sorties régulières au cinéma. Si je me promets de revoir le nouveau Jason Bourne dans un proche avenir, les autres nouveautés peuvent attendre un peu. Il était toutefois impensable de passer à côté de trois films intéressants et très différents.
C'est une superbe animation japonaise que la Cinémathèque québécoise présente à partir d'aujourd'hui. Classique de 1973, La Belladone de la tristesse d'Eichi Yamamoto est un mélange de dessins animés et d'images fixes sur une femme accusée de sorcellerie qui décide de faire un pacte avec le Diable pour se venger. Psychédélique à souhait, plongé dans un état presque constant de souffrance, de sexe et de violence, ce conte féministe demeure d'une poésie sans nom où l'on veut s'y lover à jamais. ****
Après quelques efforts oubliables, Woody Allen revient avec Café Society, une romance drôle et très sympathique sur le Hollywood des années 30. Tout a déjà été vu précédemment, ce qui n'est pas une raison de bouder son plaisir. La distribution est parfaite et que dire de la photographie, une de ses plus soignées depuis des lustres. ***
Critique
Lauréat du prix du meilleur film canadien au TIFF l'année dernière, Closet Monster est un séduisant premier long métrage de la part de Stephen Dunn, qui emprunte beaucoup à l'univers de Xavier Dolan (mais également Araki et Cronenberg) dans sa façon de montrer son jeune héros à la croisée des chemins. Malgré des tics de mise en scène et une superficialité des personnages, on retient principalement ce talent certain derrière la caméra et des interprètes convaincus. ***
Critique
Après quelques efforts oubliables, Woody Allen revient avec Café Society, une romance drôle et très sympathique sur le Hollywood des années 30. Tout a déjà été vu précédemment, ce qui n'est pas une raison de bouder son plaisir. La distribution est parfaite et que dire de la photographie, une de ses plus soignées depuis des lustres. ***
Critique
Lauréat du prix du meilleur film canadien au TIFF l'année dernière, Closet Monster est un séduisant premier long métrage de la part de Stephen Dunn, qui emprunte beaucoup à l'univers de Xavier Dolan (mais également Araki et Cronenberg) dans sa façon de montrer son jeune héros à la croisée des chemins. Malgré des tics de mise en scène et une superficialité des personnages, on retient principalement ce talent certain derrière la caméra et des interprètes convaincus. ***
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