C'est un Johnnie To en petite forme que l'on retrouve sur son thriller médical Three. S'il y a une superbe scène d'anthologie, une mécanique bien huilée, des hommages prononcés (Untouchables) et beaucoup d'humour (il y a même un personnage qui s'appelle Ken Sir pour cancer), le récit classique et tiré par les cheveux peine à maintenir l'intérêt dans la première heure et ça, ce n'est pas normal chez ce grand cinéaste. À expérimenter demain dans le cadre de Fantasia. **1/2
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