C'est avec L'éternité et un jour que le grand Theo Angelopoulos a finalement obtenu sa Palme d'Or. Avec son récit le plus accessible et peut-être le plus bouleversant sur un homme condamné par la maladie qui décide d'aider un jeune immigrant illégal. Entre souvenirs et mélancolie, la mer se déploie, la musique fait vibrer et Bruno Ganz marche en gardant la tête haute, comme les héros de Bergman et de Kurosawa. Une oeuvre poétique toute en finesse et en délicatesse. ****1/2
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire