Janvier se termine d'une belle façon avec un très joli hymne à la vie et à la liberté.
Il porte le nom de Mustang, ce courageux film de Deniz Gamze Ergüven sur le combat de cinq soeurs pour s'affranchir des dogmes de leur famille. Une oeuvre sensible et délicate qui fait du bien. ***1/2
Avec son visuel à tout casser, Kung Fu Panda 3 de Jennifer Yuh Nelson et Alessandro Carloni oublie presque qu'il doit raconter une histoire pour toute la famille et pas seulement pour les jeunes enfants. ***
Charmante chronique sur le déracinement, Là où Atilla Passe d'Onur Karaman propose de beaux personnages qui vivent des drames connus mais de façon sincère. ***
Il fallait s'attendre à un peu plus de Synchronicity de Jacob Gentry qui mélange histoire d'amour et voyage dans le temps. La musique est hallucinante et les hommages à Blader Runner, Primer et le cinéma de Christopher Nolan sont sentis, sauf que l'histoire demeure quelconque et les dialogues souvent risibles. **1/2
La solitude est de tous les plans de Early Winter de Michael Rowe, un essai bien réalisé et interprété qui souffre toutefois d'une abondance de symboles et d'un rythme laborieux. On est très loin ici du magnifique Année bissextile du même auteur. **1/2
Lorsque que la mer se déchaîne, The Finest Hours de Craig Gillespie captive amplement. Sinon il s'agit d'un autre drame vécu pétri de clichés que n'arrive pas à faire oublier de talentueux comédiens. **1/2
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