Pour la fête des Pères, on veut revoir Les portes de la nuit en famille. Pas que cette nouvelle collaboration entre le cinéaste Marcel Carné et le dialoguiste Jacques Prévert soit impeccable, loin de là. Cette histoire d'amour et de trahison à la fin de la Deuxième Guerre mondiale manque de nuances et de rebondissements pour convaincre totalement. Mais il y a cette ambiance unique, ces interprètes dévoués (dont Yves Montand dans son premier rôle au cinéma) et la chanson Les feuilles mortes qui hante encore et encore. De quoi compenser les nombreuses largesses du scénario. ***
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