Dans Europa 51, Rossellini maîtrise le mélo et le néoréalisme italien mieux que personne, créant une histoire pathétique mais touchante d'une bourgeoise qui vient de perdre son enfant et qui décide d'aider les gens pauvres... au grand dam de son mari qui tente de la faire interner! Le récit, magnifique malgré ses quelques lourdeurs, doit beaucoup aux images évocatrices à la composition saisissante d'Ingrid Bergman, qui donne littéralement des frissons dans le dos dans la dernière ligne droite. ****
lundi 9 juin 2014
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