La semaine prochaine prendra l'affiche le film canadien Leslie, My Name is Evil, un surprenant drame qui se déroule pendant le procès de Charles Manson. Le cinéaste Reginald Harkema dresse des parallèle ingénieux entre ces massacres et l'envoie de troupes américaines au Vietnam, entre la religion et le pouvoir.
Pour l'occasion, j'ai pu m'entretenir avec le sympathique réalisateur qui m'a parlé de cette époque-là, des thèmes en place et du cinéma canadien dans son ensemble.
Mon entrevue se trouve dans les pages d'aujourd'hui du journal Métro, ainsi que sur leur site internet (Métro).
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