Très joli documentaire sur la mémoire et l'héritage familial (pour le meilleur comme pour le pire), Okurimono de Laurence Lévesque prend également le pouls des survivants de Nagasaki avec sensibilité et même poésie. Le rythme contemplatif, les images soignées et la caméra à l'avenant permettent au récit de se déployer lentement et organiquement, s'avérant plus pertinent que la majorité des essais du même genre. ***1/2
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