La chaîne qui relie deux prisonniers est la métaphore par excellence de la condition humaine dans The Defiant Ones. En traitant de racisme et de pauvreté, le film résonne au sein d'un pays encore trop empêtré dans son passé (le long métrage a pris l'affiche en 1958). Le scénario profond et pas toujours subtil est parfaitement mis en valeur par la mise en scène experte de Stanley Kramer (mention spéciale à la splendide photographie en noir et blanc) et la chimie exceptionnelle de Sidney Poitier et Tony Curtis. ****
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