Après une Bonne épouse moins convaincante, Martin Provost revient à la peinture qui a fait sa renommée avec son sublime Séraphine. Sauf que Bonnard, Pierre et Marthe est davantage un drame sentimental, d'une grande beauté plastique, mais trop superficiel et anecdotique pour convaincre réellement. Vincent Macaigne et Cécile de France se révèlent excellents, mais étrangement, quelque part, la chimie n'opère que difficilement entre eux. ***
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