Toucher à Inside Out - la meilleure animation de Pixar - est un risque. Sa suite réalisée par Kelsey Mann le sait très bien et elle reproduit le schéma de l'original. L'histoire en mode «crise de puberté» est donc similaire, tout comme ses développements, sa façon de traiter des thèmes importants et sa conclusion qui rappelle la complexité de chaque être humain. Si c'est pour le mieux (les personnages - même les nouveaux - sont toujours aussi attachants et l'humour coule à flot), il n'y a rien d'aussi mémorable au menu, tandis que l'émotion tarde à se manifester. ***
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