Une femme du futur doit revisiter ses vies antérieures afin de se débarrasser de ses affects. Telle est l'intrigante prémisse de La bête, le nouveau film de Bertrand Bonello. Entre fascination et branlette intellectuelle, le long métrage ne tarde pas à hypnotiser et à irriter tant son niveau de maîtrise - et de prétention - saute aux yeux. Reste un bel objet clinique et glaçant, porté par une Léa Seydoux en pleine possession de ses moyens. ***
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