En traitant des combats quotidiens d'une femme à barbe dans la France de 1870, Stéphanie Di Giusto développe avec Rosalie un récit résolument féministe, parfois trop appuyé et didactique, mais qui est élevé par l'immense soin plastique de la mise en scène et les jolies séquences d'intimité entre Nadia Tereszkiewicz et Benoît Magimel. ***
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