Le cinéma de Fatih Akin n'a plus jamais été le même depuis The Cut en 2014, qui traite du génocide arménien. Malgré tout son talent et un parcours presque sans faute, le réalisateur s'est fourvoyé dans cette superproduction ambitieuse et ennuyeuse, conventionnelle au possible, dénuée d'éclat et d'émotion des plus grandes fresques, laissant le pauvre Tahar Rahim littéralement perdu dans le désert. **
mardi 19 mars 2024
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire