Neuf années après son très intéressant Le bruit des arbres, François Péloquin est de retour avec La fonte des glaces, un film nettement moins abouti. Ce n'est pas la faute de Christine Beaulieu, excellente en agente de libération conditionnelle. Mais elle ne peut rien face à un scénario trop écrit et démonstrateur, qui tente de faire cohabiter le drame carcéral (souvent émouvant) et le suspense (ridicule et pétri d'invraisemblances). **1/2
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