Après un magnifique premier long métrage (Bait), qu'allait nous réserver le cinéaste Mark Jenkins? Un pastiche des films folk dans la lignée de The Wicker Man, qui utilise une mise en scène rétro afin de parler de thèmes contemporains (comme l'environnement). Cela dit, Enys Men relève du véritable suspense, comme les oeuvres les plus tordues de David Lynch, et il faudra multiplier les visionnement afin d'y soutirer ses secrets. D'ici là, on se laissera porter comme dans un rêve où le symbolisme est roi. ****
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