Mathieu Amalric n'est pas seulement un excellent acteur. Il est en train de devenir un grand cinéaste. Après son sublime Barbara, le voilà de retour avec Serre moi fort, une adaptation d'une pièce de Claudine Galea qui mélange passé, présent, fantasmes, rêves et lubies à l'aide d'un montage vertigineux aux ellipses sidérantes. Les thèmes sensibles et délicats vont droit au coeur, gracieuseté de la présence inoubliable de son héroïne Vicky Krieps. Un peu comme si Resnais s'était permis un mélo à la Sirk. En exclusivité pendant deux semaines au Cinéma Moderne. Ma critique. ****
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