Présenté à Rotterdam et à Berlin, Le rêve et la radio d'Ana Tapia Rousiouk et Renaud Desprès-Larose est probablement le plus beau film québécois de l'année. Une oeuvre ambitieuse et follement originale sur la jeunesse, qui ose l'expérimentation et le lyrisme comme rarement dans notre cinématographie. Ma critique complète figurera dans la prochaine édition de Ciné-Bulles. ****
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