Lauréat du prix du public à la dernière cérémonie des Iris, Sam de Yan England débute comme un banal film de natation (on est loin de Nadia Butterfly) avant de se transformer en drame psychologique sur le regret, le deuil et la maladie. Malgré une performance sentie de la plupart des interprètes, il est difficile de prendre au sérieux le tout tant le scénario ne fait aucun sens. Comme comédie involontaire, il ne s'est rien fait de plus drôle au Québec depuis plusieurs années. *1/2
vendredi 24 juin 2022
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