Bien avant Julie (en 12 chapitres), Joachim Trier avait réalisé Oslo, 31 août (2011), son oeuvre phare sur le mal-être de la jeunesse déjà trop usée, qui erre dans la ville en quête de repère. Plus sombre (normal, il s'agit d'une relecture du Feu follet) et plus riche, le récit qui démarre lentement finit par hanter et aller droit au coeur, lors d'une seconde partie d'un grand pouvoir d'évocation. ****
lundi 20 juin 2022
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