Commandé pour la télévision, Grandeur et décadence d'un petit commerce de cinéma (1986) permet à Jean-Luc Godard de parler de la mort et du cinéma, autant par l'entremise de ses mises en abîmes que ses hommages (notamment à François Truffaut qui est personnifié par Jean-Pierre Léaud). Le travail sur les mots et la forme force l'admiration, et s'il y a ses transgressions habituelles, elles sont accompagnées par un surplus de poésie et quelques plans réellement magnifiques. ***1/2
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