Gagarine n'aurait pu être qu'un récit d'apprentissage et un film de banlieue comme les autres. Sauf que ce premier long métrage de Fanny Liatard et de Jérémy Trouilh convie la liberté propre à la jeunesse et l'esprit de ces lieux qui tendent à disparaître afin de créer une oeuvre à part, pas irréprochable (l'abus de symboles et de sentiments se font rapidement remarquer) mais charmante et puissante dans sa dernière ligne droite. ***
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