Qu'il est bon de voir Paolo Sorrentino (La grande beauté, Il Divo) retrouver la forme après une multitude de projets oubliables. Dans La main de Dieu, il dresse un magnifique portrait de son adolescence et de sa ville natale Naples. La première partie, illuminée et hilarante, est une sorte d'hommage au Amarcord de Fellini. Alors que c'est dans le second segment, plus sombre, mélancolique et nettement plus puissant, qu'il trouve sa propre liberté créatrice. Comme toujours chez lui, des plans hantent longtemps après le visionnement. À découvrir de préférence au cinéma. ****
dimanche 5 décembre 2021
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