Découvert en 2014 avec son très agréable film Tristesse Club, le réalisateur et scénariste Vincent Mariette a offert cette année le très particulier Les fauves. Je l'ai rencontré pour l'occasion (mon entrevue) et je lui ai demandé quels étaient ses films préférés...
« Jeune adolescent, j'avais
découvert Phantom of a Paradise, un
soir à la télévision et c'est un film qui a vachement compté. Je devais avoir
12-13 ans. J'étais surtout spectateur de films plus normés et là j'avais
l'impression qu'il y avait un geste qui m'était adressé. J'ai senti un truc
très, très fort. Après, le reste de filmographie de De Palma, mais ce film-là
m'a vachement marqué.
Plus tard, un autre film qui a
été une référence formelle pour Les
fauves est The Swimmer de Frank
Perry. C'est dans les années 70, Burt Lancaster
qui tente de rentrer chez lui en nageant dans toutes les piscines. C'est un
film qui m'a vachement marqué, qui est une référence.
Il y a aussi The Conversation de Coppola. C'est un absolu cinématographique pour
moi. Un joyau. »
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