Meilleur que Ville-Marie mais moins bon que Marécages, Malek offre à Guy Édoin un retour en demi-teinte au cinéma. Autant il continue à maîtriser techniquement ses films (la photographie y est exceptionnelle), autant il se perd dans ce récit superficiel et chargé. À sa décharge, il n'est pas l'auteur du scénario. En revanche, les comédiens s'investissent corps et âme dans le projet, particulièrement le bouillant Tewfik Jallab. **1/2
Ma critique
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