S'il est normal d'être un peu déçu devant Boris sans Béatrice de Denis Côté, revenir à son premier long métrage Les états nordiques (présenté ce soir à la Cinémathèque québécoise) est une nécessité. Seulement pour noter son intelligence, son intransigeance et son désir de s'évader d'une forme pré-établie. Le cinéaste a bien mûri depuis, sauf que ses premiers pas cinématographiques demeurent essentiels. ****
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