Il y en a pour tous les goûts cette semaine au niveau des sorties en salles au Québec.
Le parc: Rohmer rencontre Lynch dans cette oeuvre intimiste et magnifiquement mise en scène. Retenez le nom du réalisateur: Damien Manivel. Car il risque de vraiment de faire de grandes choses. ***1/2
Sage femme: Martin Provost (Séraphine) s'offre un cinéma plus accessible en convivant les deux grandes Catherine (Deneuve et Frot) à une jolie histoire sur la transmission et la transformation. ***1/2
Annabelle: Creation: Largement supérieur à son prédécesseur, ce suspense horrifique permet une nouvelle fois à son cinéaste David F. Sandberg (Lights Out) de briller... dans le noir. Drôlement efficace. ***
Ma critique
Landline: Sympathique comme tout, cette comédie signée Gillian Robespierre met de bonne humeur malgré son histoire terriblement prévisible. Quel casting! ***
Menashe: Sorte de Kramer vs Kramer chez les Juifs hassidiques, ce drame de Joshua Weinstein en dit long sur son milieu clos. On se demande même si un documentaire n'aurait pas été préférable. ***
The Little Hours: Une distribution de choc n'est pas suffisante pour égayer cette satire de Jeff Baena qui aurait mérité à être beaucoup plus cocasse et osée. Comme Decameron, on préfère encore plus la version de Pasolini. **1/2
Jamais contente: La jeune Léna Magnien crève l'écran dans ce récit un brin formaté d'Émilie Deleuze qui ressemble à de nombreuses productions pour adolescents. **1/2
The Glass Castle: Après son formidable Short Term 12, Destin Daniel Cretton s'est commis avec ce Captain Fantastic des pauvres, trop stéréotypé pour convaincre réellement malgré des moments touchants. **1/2
The Glass Castle: Après son formidable Short Term 12, Destin Daniel Cretton s'est commis avec ce Captain Fantastic des pauvres, trop stéréotypé pour convaincre réellement malgré des moments touchants. **1/2
Galère au Brésil: Présenté à Fantasia, cet effort de Patrick Mille présente un univers pétri de clichés que n'arrive pas à sauver une cinématographie enviable et des interprètes enjouées. C'est aussi bancal que le déjà oublié Rough Night. **
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