Ce qu'on peut s'ennuyer des vieux films de Michael Winterbottom! Malgré sa superficialité, Wonderland fonctionne à plein régime avec ses images électrisantes, les mélodies inoubliables de Michael Nyman et ces histoires chorales de solitude urbaine qui se laissent savourer comme du Tchekhov à la sauce pop. ***1/2
samedi 5 août 2017
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