Pour son premier film Love is Colder Than Death, Fassbinder puise à même la Nouvelle Vague (principalement celui de Godard et Chabrol), créant un homme senti avec ses deux gangsters qui font les 400 coups avec leur amoureuse. Plus quelconque, l'intrigue répond à une structure infaillible, proche du théâtre de l'absurde qui se moque allègrement du capitalisme et de la bourgeoisie. Le résultat n'est pas toujours maîtrisé, mais il laisse percevoir un immense talent brut qui mérite seulement d'être affûté. ***
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