Après une série d'essais conceptuels, Jean-Luc Godard retourne au film plus linéaire et accessible avec Sauve qui peut (la vie) où il suit trois personnages qui se font broyer par la société. Plein d'humour, de références et de ralentis où triomphent enfin l'image, l'ouvrage ne manque pas d'intéresser et même d'enchanter bien que les différents destins ne sont pas tous de même qualité. Mais revoir Nathalie Baye, Isabelle Huppert et Jacques Dutronc dans des cadres plus rigides et parfois désespérés en dit long sur leur carrière respective. ***1/2
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