Luis Bunuel qui transpose Robinson Crusoe, c'est un peu David Lynch s'attaquer au Petit Prince. C'est tellement étrange et normal à la fois que l'on ne peut qu'en ressortir déboussolé. Surtout que le cinéaste utilise la couleur pour la première fois, envahissant l'écran d'animaux et se perdant dans la folie de son personnage principal. Le résultat, sans être marquant, s'avère plus que satisfaisant. ***1/2
dimanche 3 mai 2015
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