Tsai Ming-ling aime filmer les silences, la solitude de l'urbanité et les gens qui ont de la difficulté à communiquer. Dans Vive l'amour, il se prend pour un Antonioni des temps modernes, s'intéressant à trois jeunes âmes qui trouvent refuge dans un appartement inoccupé. Avec ses longs plans révélateurs et sa sensualité à fleur de peau, le cinéaste montre tout avec une économie de moyens qui est tout simplement épatante. ****
jeudi 28 mai 2015
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